Réseau santé globale
Préambule
Bonjour, je suis Dominique Bourdin, titulaire d’un doctorat de médecine.
Ce que j’observe aujourd’hui dans le domaine de la santé me laisse perplexe et me pose des questions, comme si il manquait quelque-chose d’essentiel à notre médecine, pourtant de pointe.
Ma proposition repose sur plus de 40 ans d’expérience en tant que thérapeute et accompagnant holistique. Ayant débuté en tant que médecin généraliste, chromothérapeute et acupuncteur, j’ai traité mes patients avec des approches douces, non invasives et non médicamenteuses chimiques (homéopathie, phytothétapie, aromathérapie…). Ma pratique ne correspondant plus à ce que l’on attend en France d’un médecin généraliste (diagnostique et protocole de soin), le conseil de l’ordre des médecins a décidé de ma radiation..
Cette situation m’a incité à trouver de nouvelles solutions pour continuer à aider les personnes, une mission que je poursuis encore aujourd’hui. Cela a également suscité une réflexion approfondie sur la manière de prendre soin des individus.
Mon parcours en médecine m’a confronté à une vision très mécaniste de l’être humain, le considérant comme une machine composée de pièces détachées remplaçables. Actuellement, la médecine est devenue une série d’algorithmes, englobant le transhumanisme. Les laboratoires ont enfermé la profession médicale dans des diagnostics à cocher, souvent suivis de traitements chimiques prescrits.
Ces dernières années, les approches alternatives telles que l’homéopathie, la phytothérapie et l’aromathérapie ont été discréditées, restreignant davantage les praticiens. Mon constat est le suivant : nous ne sommes pas destinés à être malades. Si la maladie survient, elle porte un sens dans notre évolution. Le pouvoir d’auto-guérison est significatif lorsque la guérison s’inscrit dans un cheminement personnel.
En médecine générale, j’estime que 80% des cas peuvent se résoudre naturellement avec des encouragements et des ajustements de mode de vie, tandis que 15% nécessitent des interventions simples telles que la phytothérapie, l’homéopathie ou l’acupuncture. Seuls 5% des cas sont graves, or les medecins sont formés essentiellement pour ces 5%.
Avec mon épouse, nous avons développé des cures de quelques jours combinant diverses techniques thérapeutiques non médicales, agissant sur les plans physique, vibratoire et psycho-émotionnel, tout en facilitant la prise de conscience et les changements nécessaires.
Fort de cette expérience, j’ai envisagé la création d’un réseau de santé globale reposant sur des approches non médicales actuelles, mais contribuant à façonner une médecine future d’orientation humaniste. La conjoncture actuelle, entravant de nombreux soignants dans leur vocation, a probablement été le déclencheur de cette initiative.
Les grandes lignes de cette proposition
1. Ce réseau part d’une réflexion anthropologique, philosophique : quel être humain voulons-nous soigner ?
Dans mes formations de chromothérapie, j’expose mon point de vue :
Nous sommes une parcelle hologrammique de la conscience universelle qui prend corps pour expérimenter l’amour dans la matière.
Dis autrement : nous sommes des représentants de la conscience universelle venus faire une expérience d’amour sur la Terre.
Cette conscience universelle prend corps en se densifiant par l’intermédiaire de l’aura et de ses enveloppes énergétiques qui, elles-mêmes, se densifient grâce à la lumière et aux couleurs pour former le corps physique : le corps physique est de la lumière condensée à partir du corps vibratoire.
Les couleurs sont une nourriture pour le corps vibratoire qui génère et gère le corps physique.
Cette façon de voir permet d’évaluer avec pertinence les besoins des personnes et donc leur approche thérapeutique.
La chromothérapie permet de connaître les besoins fondamentaux des personnes et de les soigner.
Dans mes livres, je parle d’ailleurs de Chromobiologie, et non plus de chromothérapie, pour mettre en lumière une philosophie de vie qui s’étend bien au-delà du strict aspect thérapeutique.
Cette approche est une piste. Elle est pertinente. Elle n’est bien sûr pas la seule susceptible de nourrir la réflexion anthropologique.
La priorité est de remettre l’amour au centre de tout concept et de toute vie.
Nous sommes faits pour aimer et être aimés.
2. Une éthique est nécessaire, pour soignants et soignés
Nous en avons élaboré une qui peut servir d’inspiration.
Elle est fondée sur le respect des uns et des autres et sur le « faire ensemble » :
En quoi ce que nous faisons permet à chacun d’être plus créateurs d’amour pour soi et les autres, c’est à dire, en quoi cela permet-il à chacun d’aller vers plus d’autonomie, de responsabilité, de liberté, de créativité, dans le respect de soi, des autres et de la planète ?
En quoi ce que nous vivons nous permet de nous réaliser et de prendre soin de nos besoins
fondamentaux ? La chromobiologie donne une grille de lecture de ces besoins grâce à la symbolique des couleurs liée à la symbolique des organes.
3. Un réseau de thérapeutes travaillant dans cet état d’esprit global.
Je peux mettre à disposition mon expertise, former des thérapeutes, voire fournir du matériel, en tout cas aider à une installation.
4. Un organisme qui regroupe soignants et usagers de cette approche de santé
Il pourrait s’agir d’une mutuelle, d’une ONG… Ceci est à déterminer.
5. Une nouvelle monnaie pour faciliter la création et les installations
Avec des adhérents, mais aussi une création monétaire pour ce projet.
La monnaie libre me semble une démarche pertinente : ce projet pourrait faciliter le développement de cette monnaie non spéculative, et son usage comme une vraie monnaie alternative.
6. Un réseau de diffusion d’information
7. Un changement profond de paradigme
A terme, récupérer les cotisations obligatoires au service de la santé et non plus des laboratoires.
Cartes mentales du Réseau santé globale
Ces cartes montrent la proposition de création de réseau santé globale comme une cellule nerveuse : modifiable selon les idées, les compétences et les désirs des personnes intéressées C’est un projet d’intelligence collective et de démocratie participative.
Le site La Chrysalide montre nos compétences et les domaines où nous pouvons intervenir : philosophie, éthique, soins et formations.
Des liens pourront être faits avec d’autres sites présentant leur point de vue et leurs compétences.
A terme, un site devrait être dédié à ce projet.
Si ce projet résonne pour vous
J’invite tous ceux que cette démarche intéresse à nous rejoindre.
Que vous soyez patient, thérapeute, chef de projet, mécène,… ou juste motivé par notre idée, nous aurons besoin de vous !
Si vous souhaitez travailler concrètement à la mise en place de ce projet, merci de nous contacter en indiquant vos compétences et ce que vous pensez pouvoir apporter.
Nous organiserons ensuite des groupes de travail via internet et communiquerons sur l’avancée du projet.